Mon papa, 67 ans, a envoyé cette semaine son premier e-mail.
Depuis son iPad1.
Qu’il avait depuis 24 heures.
Lui qui n’avait jamais touché une souris a été ravi de ce cadeau. Lui qui avait toujours pesté contre ces co(cho)nneries d’ordinateurs, a trouvé que c’était vraiment un outil génial.
The Times, They Are-A Changin’.
Indeed, Bob. Indeed.
- Que je lui avais préparé avec amour, quand même. ↩
Ah, c’est ce genre de témoignage qui me fait plaisir et qui va à l’encontre de toutes les conneries que je lis ci et là…
Je suis heureux pour ton père. Le mien a refusé, pas compris… Bon, et puis pas dans un état de fraîcheur intellectuelle suffisant, malheureusement… 15 ans de plus qui expliquent ceci.
Bravo !!!!
Tout ça pour avoir un client potentiel de plus pour « À la découverte de son iPad », si c’est pas malheureux d’en arriver là :-)
Exactement la même histoire pour mon père, à la sortie de l’iPad 2.
Même âge, même aversion au PC (mac), mais insatiable de communication, et curieux, il a passé son 1er mail avec sa tablette 3G qui ne le quitte plus.
Un an après, je le croise tous les matins au bureau, à lire je ne sais trop quoi dessus, mais un peu de tout ce qu’il aime, et ce qui compte dans son travail.
L’iPad est souvent décrié par les informaticiens classiques que « nous » sommes, en réalité, sa plus grande force est surement de ne pas être fait pour « nous » plaire.
Ca me rappelle ce que demandait Sculey aux développeurs du Newton : arrêtez de voir en faire un mac super-portable, ce n’est pas un mini powerbook, c’est autre chose, c’est un assistant numérique.
C’est en allemand mais facile à comprendre, elle demande à son père comment il a trouvé l’iPad qu’elle lui a offert offert : http://www.youtube.com/watch?v=TtXWWRyJLPw